A tous ceux qui s’envoient en l’air à deux pas des mouroirs haletants :
« La course au profit est doublée par la course aux orgies mais il s’agit toujours de course et d’accumulation, c’est-à-dire de challenge, c’est-à-dire encore une fois de croissance, c’est-à-dire de nihilisme festif et d’érection fébrile du principe de plaisir contre la Loi et le réel, donc d’infantilisme gavé de sa toute-puissance postiche. »
Festivus festivus, Philippe Muray, Flamarion, 2008.